Une jeune institutrice a été victime d’un v!0l début novembre, suscitant une vive indignation. L’information a été relayée par le Réseau des dynamiques institutrices de Côte d’Ivoire (REDICI), mettant en lumière un acte odieux qui a choqué la communauté.
Selon les déclarations de la présidente du REDICI, Mme Diabagaté Sépi Emma Nadège, cette enseignante du primaire, âgée d’une vingtaine d’années, a subi cette agression à son domicile, dans une cité isolée de Samatiguila. Le jour fatidique, alors qu’elle était seule chez elle et prenait son repas entre 10 heures et 11 heures, un individu masqué l’a men@cée avant de commettre l’acte criminel et de prendre la fuite.
La victime, après cet horrible épisode, a rapidement alerté les autorités. Elle a été prise en charge médicalement et a retenu d’un soutien moral et psychologique de la part du REDICI, qui a dépêché une délégation à Odienné pour lui apporter son assistance.
Le REDICI, dans son communiqué, a fermement condamné cet acte barbare, souligne la nécessité d’une attention accrue des associations luttant contre les violences basées sur le genre et des autorités étatiques face à la recrudescence des agressions sexuelles visant les enseignantes dans différentes régions de la Côte d’Ivoire.
Cet événement tragique soulève une fois de plus la question de la sécurité des femmes, en particulier celles qui exercent des fonctions publiques telles que l’enseignement, et met en lumière l’urgence de mesures pour assurer leur protection et prévenir de tels actes ignobles.
Cette situation a déclenché une vague d’indignation et d’appels à agir pour garantir la sécurité et l’intégrité des femmes exerçant des professions à risque, tout en soulignant la nécessité d’une sensibilisation continue contre les violences basées sur le genre.
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