Dans une affaire qui a secoué les réseaux sociaux ivoiriens, un homme se présentant comme un militant du RHDP a été arrêté après avoir diffusé une vidéo virale dans laquelle il proférait des menaces de mort, armé d’une machette et d’un couteau. Il visait un internaute accusé de critiquer le président Alassane Ouattara.
Une Vidéo Choc Suscite l’Indignation
La vidéo, rapidement devenue virale, montrait un homme en colère, exhibant ses armes et menaçant de s’en prendre à un autre citoyen ivoirien. Son motif : des propos jugés hostiles au président Alassane Ouattara. Se déclarant un fervent soutien du RHDP originaire de Man, l’individu promettait de « régler le compte » de l’internaute ciblé.
Dans une affaire qui a secoué les réseaux sociaux ivoiriens, un homme se présentant comme un militant du RHDP a été arrêté après avoir diffusé une vidéo virale dans laquelle il proférait des menaces de mort, armé d’une machette et d’un couteau. Il visait un internaute accusé de critiquer le président Alassane Ouattara.
Une Vidéo Choc Suscite l’Indignation
La vidéo, rapidement devenue virale, montrait un homme en colère, exhibant ses armes et menaçant de s’en prendre à un autre citoyen ivoirien. Son motif : des propos jugés hostiles au président Alassane Ouattara. Se déclarant un fervent soutien du RHDP originaire de Man, l’individu promettait de « régler le compte » de l’internaute ciblé.
Enquête et Arrestation
Face à l’ampleur et à la gravité de la situation, la Plateforme de Lutte contre la Cybercriminalité (PLCC) a immédiatement ouvert une enquête, avec le soutien de l’Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d’Information (ANSSI). Ce vendredi 4 juillet, la PLCC a annoncé l’interpellation de l’auteur de la vidéo, identifié par ses initiales ID, un artisan mécanicien. Il a été localisé, arrêté et déféré devant le parquet.
Poursuites Judiciaires et Peines Encourues
ID est poursuivi pour menaces de mort et incitation à la haine, en vertu de la loi relative à la lutte contre la cybercriminalité et des articles du Code pénal. Lors de son audition, il a tenté de justifier ses actes en invoquant « l’émotion » après avoir visionné une vidéo de l’activiste qu’il ciblait. Cependant, les autorités ont clairement indiqué que la liberté d’expression ne justifie ni la menace ni la violence, surtout en cette période électorale sensible. ID risque une peine d’emprisonnement ferme allant de 5 à 20 ans.
Discussion à propos de ce post