Dissolution de la FESCI : Téné Birahima Ouattara aux commandes d’une refonte radicale

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Une nouvelle ère s’ouvre pour la vie estudiantine en Côte d’Ivoire. Face à la dégradation de la situation au sein de la Fédération des étudiants de Côte d’Ivoire (FESCI), le gouvernement, sous l’impulsion directe de Téné Birahima Ouattara, Ministre de la Défense et proche collaborateur du président de la République, a décidé de dissoudre le syndicat.

Cette décision sans précédent fait suite à une série d’événements tragiques, dont le décès d’un étudiant, survenu dans le cadre de luttes intestines au sein de la FESCI. Lassé des violences récurrentes et des troubles à l’ordre public engendrés par certaines factions étudiantes, le gouvernement a jugé nécessaire d’intervenir de manière ferme.

Un ministre aux commandes

C’est Téné Birahima Ouattara qui a pris les rênes de ce dossier sensible, en l’absence du Premier Ministre et du duo présidentiel. Fort de son expérience et de sa connaissance du terrain, il a mis en place un plan d’action rigoureux visant à rétablir l’ordre et la discipline au sein des universités.

Au-delà de la dissolution de la FESCI, le ministre a annoncé plusieurs mesures fortes :

Adama Diawara, ministre de tutelle, mis à l’écart

Dans ce contexte de crise, Adama Diawara, ministre de l’Enseignement supérieur, a été relégué au second plan et dessaisi d’une partie de ses prérogatives. Cette décision témoigne de la volonté du gouvernement de prendre les choses en main et de mettre en œuvre une politique ferme en matière de vie étudiante.

Les enjeux de cette décision

La dissolution de la FESCI et les mesures de réorganisation annoncées par le gouvernement soulèvent de nombreuses questions. Si cette décision est susceptible de rétablir le calme au sein des universités, elle risque également de limiter les libertés syndicales et d’entraver le dialogue social.

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