Le manque de sucre constaté dans certaines régions du pays et certains quartiers d’Abidjan tel que plateau Dokui où avoir aujourd’hui le 1/4 de sucre dans cette zone est un parcours de combattant a fait réagir le producteur ivoirien de sucre.
Il va s’en dire que si des mesures de sauvetage face à cette situation ne sont pas prises , elle va empirer. C’est pourquoi, la SUCAF (Sucrerie Africaine de Côte d’Ivoire) basée à Ferkessedougou dans le nord du pays, dit respecter le plafonnage des prix fixés par l’État .
Elle a donc bien voulu faire des précisions concernant cette affaire qui fatigue littéralement les ménages. Elle a également dit dans sa communication être surprise du retour qu’elle a au sujet des ménages qui souffrent du manque de sucre : pourtant elle dit avoir fait du stock qu’elle a remis à ses partenaires distributeurs. Un stock de 6000 tonnes pour le mois de novembre.
La raffinerie a donc déploré le fait que certains acteurs de la distribution, dont certains de ses clients, s’adonneraient à la rétention de stocks et à des pratiques spéculatives sur les tarifs du sucre. Ces agissements, a-t-elle indiqué, conduisent à une hausse injustifiée des prix de vente aux ménages.
La Sucaf-ci a donc prévenu, qu’elle serait dans l’obligation de rompre le partenariat avec ces derniers, s’ils continuent de vendre le sucre à des prix exorbitants.
Pourquoi faire de la rétention de stock , pour des éventuels bénéfices sur chaque Sac ou Sachet, tandis que la population en a besoin.
Là c’est l’Africain qui fait le mal à son frère et non l’Occident. Le bien mal acquis ne profite jamais.
A bon entendeur salut !
Letty GNÉ
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