La chanson “L’amour au noir” de la chanteuse ivoirienne Chantal Taïba, sortie le 12 juillet 2024, continue de faire des vagues. Cette chanson qui aborde la thématique des relations extraconjugales cachées a touché un gigolo qui a décidé de partager son histoire sous couvert d’anonymat.
Dans une interview, il se confie sur sa relation de cinq ans avec une femme mariée de 48 ans, une femme d’affaires aisée qui lui offre une vie luxueuse en échange de son silence et de sa discrétion.
“Je ne sais pas si je dois dire que je suis gigolo, professeur, ou tchizo. Mais je vis une relation en cachette”, explique-t-il. “Elle me donne tout ; voiture avec chauffeur, argent, vêtements. Elle m’a pris une grosse villa. Je suis donc à ses petits soins.”
Cependant, cette relation idyllique en apparence cache une réalité sombre. La femme mariée est possessive et jalouse, et le surveille de près grâce à des caméras cachées dans leur maison. Elle lui impose également le silence absolu concernant leur relation.
“Elle m’intime le silence en ce qui concerne ma relation avec elle. Elle me dit ‘tu parles, je te chasse'”, confie le gigolo. “Franchement, ça devient infernal. Quand nous nous voyons, c’est juste pour ça.”
La situation devient encore plus difficile lorsqu’il lui est interdit de voir sa petite amie. “J’avais entre-temps une petite amie que je voyais aussi en cachette. Quand la femme mariée a eu l’information, elle m’a dit de faire un choix. Soit j’arrête la relation avec elle et elle m’arrache tout (voiture, maison, ect), soit je met un terme à ma relation cachée avec ma petite amie. Je lui ai donc promis de rester et de mettre fin à la relation avec ma petite amie. Elle m’a dit ok.”
Le gigolo se sent pris au piège dans cette relation toxique, où il n’a d’autre choix que de se soumettre aux exigences de sa maîtresse pour maintenir son train de vie. “Je vis plus que L’amour au noir”, avoue-t-il. “Nous vivons à Abidjan. Nos rencontres galantes, nous les faisons toujours hors d’Abidjan. Elle ne vient pas quand moi, j’ai besoin d’elle, mais quand elle a besoin de moi.”