L’échéance approche à grands pas. Ce samedi 28 juin, le Parc des Expositions d’Abidjan vibrera au rythme de la grande finale de Miss Côte d’Ivoire 2025.
Trente jeunes femmes, issues des quatre coins du pays et de la diaspora, tenteront de succéder à Marie-Emmanuelle Diamala. Âgées de 19 à 27 ans et mesurant entre 1,67 m et 1,86 m, elles incarnent la diversité, la grâce et l’engagement d’une nouvelle génération de femmes ivoiriennes.
Beauté et intelligence au rendez-vous
Parmi les prétendantes au titre, certaines se démarquent déjà par leurs profils remarquables. Sarah Feddal, représentante de la région du Gbêkê, impressionne par son parcours. À 25 ans, cette doctorante en biochimie séduit autant par son éloquence que par son engagement. « L’éducation est le socle du développement », a-t-elle affirmé lors des entretiens. Son projet social, axé sur l’alphabétisation des femmes rurales, renforce la solidité de sa candidature.
Autre figure montante : Aïchata Sanogo, candidate du Tonkpi. Âgée de 23 ans et grande de 1m80, elle a déjà conquis les cœurs lors des présélections régionales, où elle a été sacrée « reine de la beauté ». Dotée d’une aisance oratoire naturelle et d’une vision claire pour l’autonomisation des femmes, elle incarne avec force cette nouvelle génération de Miss, alliant engagement et charisme.
Des silhouettes qui impressionnent
Si l’intellect et l’engagement pèsent lourd dans la balance, les mensurations spectaculaires de certaines concurrentes captivent également l’attention. Aïcha Bonibo, représentante du Bounkani, domine physiquement la compétition du haut de ses 1m86. Cette jeune femme de 24 ans allie beauté naturelle, prestance et projet social fort, centré sur l’entrepreneuriat féminin.
À ses côtés, Samuela Amadou (Grands-Ponts, 20 ans, 1m83) et Grace-Esther Bomo (Gontougo, 24 ans, 1m83) forment un trio de candidates qui redéfinit les standards esthétiques du concours. Leur stature imposante et leur élégance pourraient bien faire basculer le choix du jury.
Des outsiders à suivre de près
Mais attention aux surprises. Certaines candidates dites « régionales » pourraient créer la sensation. Syntiche Esmel (Poro), 22 ans et 1m82, porte un projet tourné vers le soutien aux agricultrices du Nord, en phase avec les réalités économiques du pays. Elle séduit par son équilibre entre beauté, simplicité et impact social.
Du côté de l’Est, Neulissa Gbeada (Moronou, 23 ans, 1m74) mise sur son authenticité et sa connaissance du monde rural pour convaincre un jury de plus en plus sensible aux questions de développement local.
Enfin, dans le Sud-Ouest, Doloresse Sedia (San-Pédro, 25 ans, 1m74) se distingue par son expérience professionnelle dans le secteur portuaire et son engagement pour l’environnement. Elle apporte une touche de pragmatisme et de modernité à cette édition 2025.
Un concours en pleine mutation
À l’image de ces profils variés, le concours Miss Côte d’Ivoire évolue. Plus que jamais, il valorise des candidates aux parcours solides, capables de représenter dignement le pays au-delà de la beauté physique. Entre engagement communautaire, leadership féminin et fierté culturelle, l’élection de cette année promet une finale palpitante et hautement symbolique.